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Traitements déconseillés pour le vaginisme

Traitements déconseillés pour le vaginisme

Méthodes Non Recommandées Pour Le Traitement du Vaginisme

Jusqu'à ces dernières années, la vérité sur le vaginisme était un secret parmi les gens, peu discutée, et n’a pas été abordée de manière enthousiaste par les médecins et les psychologues.

Le nombre de centres menant des études scientifiques sur ce problème, qui engendre de nombreux « problèmes connexes » au sein de la famille, est très faible en Turquie. Les médias ne se penchent pas non plus suffisamment sur cette question.

Même parmi nos patientes instruites, qui se sont présentées au Centre de Santé Féminine Hera, beaucoup ont déclaré avoir entendu parler du « vaginisme » pour la première fois lorsqu’elles l’ont elles-mêmes rencontré.

Les patientes atteintes de vaginisme sont considérées comme un groupe « difficile » par la plupart des gynécologues, psychiatres et psychologues, et leurs traitements ne sont pas très attrayants.

Malheureusement, même les médecins ont des idées fausses et appliquent certains traitements incorrects dans ce domaine.

Nous Ne Recommandons Jamais Ces Méthodes Pour Le Traitement du Vaginisme:

Prendre de l'alcool et ensuite avoir des relations sexuelles

Le fait de s’enivrer avec de l'alcool ne suffit pas pour avoir des relations sexuelles. Au contraire, cela pourrait rendre la personne désintéressée par les relations sexuelles et, en outre, nuire à ses croyances religieuses. Certaines personnes, en se fiant constamment à l'alcool, peuvent en devenir dépendantes.

Utiliser des médicaments antidépresseurs et d'autres médicaments

Même avec des médicaments qui causent des vertiges, une patiente atteinte de vaginisme contractera ses muscles. Les antidépresseurs ont de nombreux effets secondaires et leur utilisation n’est nécessaire que dans les cas où la dépression accompagne le vaginisme.

Essayer des relations sexuelles après une anesthésie générale (sédation)

De nombreux couples rencontrent leur première expérience de relations sexuelles après avoir reçu une anesthésie générale (injections de sédation) dans un environnement de salle d'examen, malheureusement conduits de manière erronée par un médecin.

Cependant, les femmes souffrant de vaginisme, une fois l’effet de la sédation dissipé, se rétracteront à nouveau face aux relations sexuelles. De plus, ces tentatives peuvent conduire les personnes à se détourner des relations sexuelles.

Essayer des relations sexuelles après une anesthésie épidurale ou spinale (sédation de la taille)

Ce type de traitement est plus nuisible que bénéfique et démoralise les personnes.

Hyménectomie (ablation du tissu hyménéal)

L'hyménectomie, souvent pratiquée par de nombreux gynécologues chez les patientes vaginistiques, est en réalité une procédure inutile qui ne résout pas le problème mais l’aggrave. La raison en est que la cause du vaginisme, qui est principalement psychologique, n'est pas l'hymen, mais les contractions involontaires des muscles vaginaux.

Les exceptions concernent un hymen plus épais et plus rigide que la normale (hymen rigide) et la zone près de l’hymen qui est extrêmement sensible, ce que l'on appelle le « syndrome de vestibulite vulvaire ».

La hyménotomie est une autre intervention chirurgicale consistant à perforer l'hymen, qui n’est également pas utile pour traiter le vaginisme en général. Même ces interventions chirurgicales peuvent rendre les personnes plus désespérées et moins confiantes dans les traitements scientifiques.

Ces deux cas peuvent être diagnostiqués par un gynécologue expérimenté après un simple examen gynécologique et peuvent être traités par l’ablation régionale de l’hymen de manière chirurgicale. Dans aucun autre cas, l’hyménotomie n’est conseillée aux patientes vaginistiques. Après une telle procédure, le problème ne sera pas résolu, au contraire, le désespoir et le manque d'espoir augmenteront.

Lors du choix d'un centre…

Chaque tentative qui, sur la suggestion d’un médecin, n’a pas conduit à une solution, en apportant de la désillusion et du pessimisme, brisera la confiance que les couples ont dans le traitement.

Ainsi, le problème s’étend comme une avalanche et rend la solution encore plus difficile.

Beaucoup de patientes qui ne trouvent pas de solution, dans le désespoir et comme dernier recours, se tournent vers des imams, des sorciers et des charlatans.

C’est pourquoi nous conseillons aux patientes souffrant de vaginisme de choisir, après avoir recherché le bon endroit et la bonne méthode de traitement, un centre en lequel elles ont confiance.

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À propos de nousClinique Hera“Un centre de premier plan pour le vaginisme et d`autres problèmes sexuels en Turquie”
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